Roumanie va faire partie de l'Europe Commun. Ce que j'y avais vécu jadis ensuie, en visite.
samedi, septembre 30, 2006
Un marché sur le trottoire
Dans les rues de Bucarest, en plus de quelques grands marchés du centre, il y a des petits, souvent au bord du troitoir. On y trouve surtout des légumes, fruits et fleurs. Des clients souvent élégants comme ici et des paysans vendant leurs produits.
Mais même les vendeurs sont très différents les uns des autres.
Constatez vous même! Elles vendaient toutes les trois des fleurs au bord du marché du trotoir, pas loin des HCLM's.
L'argent des retraits est vraiment minimal.
De quel pays a-t-elle pu attérir là, probablement d'une où la vie est encore plus dur.
Et voila la troisième, quelle a pu être son métier d'avant?
Les divergences sont à Bucarest aussi dans les maisons, je vous en parlerai demain avec quelques exemples.
vendredi, septembre 29, 2006
Après trente ans
Je suis retourné à ma ville natale, Kolozsvàr (Cluj-Napoca) après plus de trente ans, en 2004. Quelques images nostalgiques des lieux revisités et des diversité des gens trouvés, comme toujours.
J'avais très peur de trouver la ville grise, de ne retrouver rien de mes souvenirs. J'avais peur que la ville dans ma mémoire n'exitait plus ailleurs que dans mes souvenirs. J'ai retrouvé la rivière et la maison la longeant où j'avais habité, j'ai retrouvé même la petite boutique où j'allais acheter un bonbon quand j'avais reçu un sous de mes parents. J'ai retrouvé "ma ville".
Loin de Paris, loin de Washington, même loin de Bucarest, Kolozsvàr de ma jeunesse revit.
C'est autant la Roumanie (deux paysannes hongroises venues à Kolozsvàr) que ceci:
La rivière Petit Samos (je n'ai jamais su où ce trouve le grand) est bordé d'un côté du parc de la ville (avec son patinoir l'hiver et ses allées ombragés par des marroniers) de l'autre côté des rues. C'est à deuxième étage d'une de ses maisons que j'avais habité jusque mes 15 ans.
Sauf qu'alors, il y avaient des accacias en face de nous. Odeur inoubliable, mais on ne pouvait pas voir la rivière à cause d'eux.
Le parc n'a pas changé dans soixante ans, il est resté le même. D'autres enfants apprennent à faire de la byciclette, autres étudiants bavardent. Mais les marroniers regardent tous avec indulgence. Que de souvenirs! Je devais passer à travers chaque jour, à partir de mes dix ans, pour aller à l'école ou chez une copine. Avant, l'école primaire était tout près de nous, à l'autre côté de la rivière.
En 2004, j'ai habité chez mon cousin, troisième cousin, mais m'ayant acceuilli avec chaleur, lui et toute sa famille. Voilà leur entré et petit cour. Et voilà à l'intérieur, je me suis sentie aussitôt chez moi, dormant entourée de tous ces livres, me rappellant ma jeunesse.
Non, que maintenant j'ai moins, mais pas rangés si bien, pas si anciens non plus.
Oui, la ville de ma jeunesse n'a pas changé tant que cela, et après que les nuages de communisme se sont éloignés, très vite a commencé à reprendre encore plus de la vie et l'initiative privé a fleuri rapidement.
J'avais très peur de trouver la ville grise, de ne retrouver rien de mes souvenirs. J'avais peur que la ville dans ma mémoire n'exitait plus ailleurs que dans mes souvenirs. J'ai retrouvé la rivière et la maison la longeant où j'avais habité, j'ai retrouvé même la petite boutique où j'allais acheter un bonbon quand j'avais reçu un sous de mes parents. J'ai retrouvé "ma ville".
Loin de Paris, loin de Washington, même loin de Bucarest, Kolozsvàr de ma jeunesse revit.
C'est autant la Roumanie (deux paysannes hongroises venues à Kolozsvàr) que ceci:
La rivière Petit Samos (je n'ai jamais su où ce trouve le grand) est bordé d'un côté du parc de la ville (avec son patinoir l'hiver et ses allées ombragés par des marroniers) de l'autre côté des rues. C'est à deuxième étage d'une de ses maisons que j'avais habité jusque mes 15 ans.
Sauf qu'alors, il y avaient des accacias en face de nous. Odeur inoubliable, mais on ne pouvait pas voir la rivière à cause d'eux.
Le parc n'a pas changé dans soixante ans, il est resté le même. D'autres enfants apprennent à faire de la byciclette, autres étudiants bavardent. Mais les marroniers regardent tous avec indulgence. Que de souvenirs! Je devais passer à travers chaque jour, à partir de mes dix ans, pour aller à l'école ou chez une copine. Avant, l'école primaire était tout près de nous, à l'autre côté de la rivière.
En 2004, j'ai habité chez mon cousin, troisième cousin, mais m'ayant acceuilli avec chaleur, lui et toute sa famille. Voilà leur entré et petit cour. Et voilà à l'intérieur, je me suis sentie aussitôt chez moi, dormant entourée de tous ces livres, me rappellant ma jeunesse.
Non, que maintenant j'ai moins, mais pas rangés si bien, pas si anciens non plus.
Oui, la ville de ma jeunesse n'a pas changé tant que cela, et après que les nuages de communisme se sont éloignés, très vite a commencé à reprendre encore plus de la vie et l'initiative privé a fleuri rapidement.
jeudi, septembre 28, 2006
A travers les anciennes villes allemandes
Bon, ce n'étaient pas "allemandes" mais ils le parlaient. Il n'en est plus resté que des traces, des anciens édifices, des hongois et roumains et tziganes ont pris leur place en majorité. Ce sont des lieux intéressants à visiter et je suis allée pour deux jours à partir de Cluj, l'année dernière en juin.
Il y a fort longtemps, lors les guerres entre turques et autriciens qui chacun à leur tour voulait s'établir ou occupper la Transylvanie, on devait se refugier des fois autour d'une église, à l'intérieur des fortifications il y avait de place pour les habitants de la petite village.
Personne ne m'a prévénu de cette merveille. Je me suis arrêté, on m'a laissé entrer et regarder, mais étroit c'était plus difficile à prendre des images que de l'extérieur.
A Medias, on a refait presque complétement le centre ville, mais sans dételiorer ce qui était avant, surtout pour remettre en état les maisons. Ils n'ont pas encore arrivé à celle-ci, son tour arrivera j'espère.
La jeune serveuse roumain, magnifique fille moderne, et très serviable. J'ai mangé à midi là, sur la place principale du Medias. Je me suis promenée autour, malgré les constructions pas tous terminés, on voyait encore mieux la patine et les couleurs szàsz.
Tous, n'aime ce faire photographier, lui il était furieux, pourtant, quelle visage!
Avant de quitter le Vieux Medias, un chariot est passé et j'ai eu du chance le prendre. On peut en rencontrer pas mal encore sur les routes de la Roumanie. Surtout entre les villages, mais des fois même au centre ville!
Il y a fort longtemps, lors les guerres entre turques et autriciens qui chacun à leur tour voulait s'établir ou occupper la Transylvanie, on devait se refugier des fois autour d'une église, à l'intérieur des fortifications il y avait de place pour les habitants de la petite village.
Personne ne m'a prévénu de cette merveille. Je me suis arrêté, on m'a laissé entrer et regarder, mais étroit c'était plus difficile à prendre des images que de l'extérieur.
A Medias, on a refait presque complétement le centre ville, mais sans dételiorer ce qui était avant, surtout pour remettre en état les maisons. Ils n'ont pas encore arrivé à celle-ci, son tour arrivera j'espère.
La jeune serveuse roumain, magnifique fille moderne, et très serviable. J'ai mangé à midi là, sur la place principale du Medias. Je me suis promenée autour, malgré les constructions pas tous terminés, on voyait encore mieux la patine et les couleurs szàsz.
Tous, n'aime ce faire photographier, lui il était furieux, pourtant, quelle visage!
Avant de quitter le Vieux Medias, un chariot est passé et j'ai eu du chance le prendre. On peut en rencontrer pas mal encore sur les routes de la Roumanie. Surtout entre les villages, mais des fois même au centre ville!
Service pas cher
On peut s'attendre à Bucarest (c'est des images d'avril de cette année) à une très bonne et très peu cher service. Si vous n'oubliez pas ajouter une bonne pourboire.
Pendant qu'une d'elles mettait le derniers touches aux cheveux, l'autre s'occupait des ongles. Vous pouvez obtenir pour pas trop l'impression riche d^être chouchouté.
La Roumanie est pauvre, les salaires très petits relatif à la France - pour le moment. 300 euros par moi est déjà une bonne salaire là malgré les prix qui grimpent. Alors, beaucoup se "débrouillent", comme il peuvent. Les cadeaux et les pourboires en font partie.
On peut aussi trouver facilement et pas cher des gens pour tout métier. J'ai trouvé sur la rue voisine des gens travaillant sur une autre maison et je les avais appellé pour refaire une pièce dans l'appartement hérité par mon fils de sa famille côté père.
Mais je ne les connaissais pas, et après trois jours de travail celui-ci m'a volé. Le matin, je n'ai plus retrouvé l'appareil à chauffer, mon parfum ni le tapis de la salle de bains. Pourtant, ensuite, il voulu revenir comme si rien n'était.
Ma cousine a rouspété (enfin, cousine de maman) "tu auras dû demander! on ne ramasse pas sur la rue!" et m'a envoyé un retraité qu'ils conaissait depuis longtemps.
J'ai pu même le laisser seul pour deux heures à la maison, avoir confiance total en lui. Il a travaillé lentement, mais très sérieusement, et j'ai payé en tout 100 euros pour une pièce avec les fenêtres et deux portes repaints. Il a travaillé trois jours pour cela!
Pendant que celui-ci, n'a pas eu peur se faire photographier et puis me voler,
il était très sérieux et travailleur et savait très bien son métier aussi.
A la fin, je lui avait offert cette portrait enramé et pour me remercier, il a encore repaint en blanc tout la porte d'entrée.
Et voilà le plombier, il venait travailler après ses heures de travail habituelles. Habitant dans la même rue, des fois il était souriant comme vous voyez, autre fois très fatigué, mais il m'a aussi mis des douilles et fait d'autres petits travaux.
La plus impressionée j'étais finalement avec les deux femmes de menage travaillant pour une journée entière et moins de dix euros par jour et faisant de travail dur sans se plaindre et dévouées.
Son mari était parti en Espagne et elle attendait qu'il l'appelle pour le rejoindre. Enfin, c'est arrivé et elle est partie encore pendant que j'étais en Roumanie. Espérant qu'il n'avait pas une maitresse là-bas, sinon, peut-être il ne lui aura pas envoyé de l'argent pour y aller.
Elle laissait un fils à Bucarest qui travaillait déjà et même avait une petite amie, "je reviendrai, mais je ne sais pas exactement quand". A sa place une autre, sa maraine, qui va aérer l'appartement chaque semain en notre absence.
mercredi, septembre 27, 2006
Un petit film
Elle dure 12 minutes et c'est fait des images pris à Cluj, ma ville natale.
Kolozsvar Cluj-Napoca
Vidéo envoyée par julie70
Kolozsvar Cluj-Napoca
Vidéo envoyée par julie70
Un diaporama sur Cluj
L'église centrale orthodoxe bâtit après la 1ere guerre mondiale en face de l'Opéra sur la deuxième place du centre ville.
Des enfants roumains au maternelle à midi, au centre aéré (l'école venait de fermer)
Vous pouvez voir plusieurs photos une après autre sur une fenêtre qui s'ouvrira en plus, en cliquant sur Diaporama ou sur le titre de ce poste.
Quelques photos des Transylvaniens
J'ai fait plusieurs centaines des photos des gens divers rencontrés en Transylvanie en 2005 et rencontrés à Bucarest en 2006, des jeunes et des gens âgés, des paysans et des citadains, voilà ici quelques unes des origines diverses.
Cela est la Transylvanie sur les routes, des colines et des bordures.
Lui, c'est un retraité des postes roumain rencontré dans le parc de Cluj, nous avons discuté finalement très bien pendant une heure.
C'était la grande mère hongroise, ayant habité en ville, actuellement de nouveau à la village, éloigné de tout. Elle se plaignait que les récoltes des choux seront habimés à cause d'innondation récent sur leur jardin.
C'est un tzigane, rencontré sur la route de retour de Sovata vers Cluj.
Un armenien, qui avait le clé de l'église armenien, ce n'était pas facile à le persuader mais finalement il a ouvert et m'a montré l'intérieur.
Cela est la Transylvanie sur les routes, des colines et des bordures.
Lui, c'est un retraité des postes roumain rencontré dans le parc de Cluj, nous avons discuté finalement très bien pendant une heure.
C'était la grande mère hongroise, ayant habité en ville, actuellement de nouveau à la village, éloigné de tout. Elle se plaignait que les récoltes des choux seront habimés à cause d'innondation récent sur leur jardin.
C'est un tzigane, rencontré sur la route de retour de Sovata vers Cluj.
Un armenien, qui avait le clé de l'église armenien, ce n'était pas facile à le persuader mais finalement il a ouvert et m'a montré l'intérieur.
Infos de Web
La Bulgarie et la Roumanie entreront bien dans l'Union européenne
l’année prochaine, mais feront l'objet d'une surveillance inédite dans
l'histoire de l'Europe. (Figaro)
Roumanie Population: 24,2 millions (2003) Capitale: Bucarest
Eoumainq (83,8 %) tsigane (8,2 %), hongrois (6,6 %), allemands (0,2 %),
julie ajoute:
Dans les temps, il y eu beaucoup plus des allemands, mais les pluparts ont partis en Allemagne et les villes ayant presque tout leur population allemand ont été vidé de leurs ancienns habitants, il restent les maisons, et les traditions. J'ai visité en Transylvanie quelques magnifiques petits villes jadis remplis de population allemand.
Quelques images de ma ville natale
Cluj-Napoca maintenant, Cluj à ma naissance, Kolozsvàr pour ceux qui parlent hongrois.
Cluj vu du haut, la coline appellé Fellegvàr (des nuages). Mes grand-parents habitaient par là une fois, avant que la deuxième guerre mondiale les chasse de leur maison et ville, afin de rester en vie.
La place au centre ville, grande, carrée n'est pas sur cette photo, juste l'église occuppant le centre place. Devant l'église, la statue de roi Mathias, le plus grand roi d'Hongrie. Il est née dans cette ville.
J'avais appris récément, que ces parents était de Hunedoara 'Hunyad' mais sa mère visitait une amie juste quand il est né. Devant sa statue, très récément, ils ont ouvert un chantier pour prouver l'origine romain (pas roumain) de la ville et ne l'ont pas fermé.
anciennes porte cocher, comme il y a pas mal au centre ville, heureusement on a ajouté des nouvelles quartiers (de 100.000 il y a maintenant 300.000 habitants) mais sans toucher au centre de la ville.
Comme jadis, depuis l'an 1200 Cluj - Kolozsvàr, est pleine des étudiants. C'est la centre culturelle, scientifique et administrative de la Transylvanie. L'été, la plupart des étudiants venus de tout part partent chez eux, puis à l'automne, la ville s'agrandit de nouveau au moins dix pour cent de plus. Ici, dans le parc de la ville, près duquel j'avais jadis habité.
Cluj vu du haut, la coline appellé Fellegvàr (des nuages). Mes grand-parents habitaient par là une fois, avant que la deuxième guerre mondiale les chasse de leur maison et ville, afin de rester en vie.
La place au centre ville, grande, carrée n'est pas sur cette photo, juste l'église occuppant le centre place. Devant l'église, la statue de roi Mathias, le plus grand roi d'Hongrie. Il est née dans cette ville.
J'avais appris récément, que ces parents était de Hunedoara 'Hunyad' mais sa mère visitait une amie juste quand il est né. Devant sa statue, très récément, ils ont ouvert un chantier pour prouver l'origine romain (pas roumain) de la ville et ne l'ont pas fermé.
anciennes porte cocher, comme il y a pas mal au centre ville, heureusement on a ajouté des nouvelles quartiers (de 100.000 il y a maintenant 300.000 habitants) mais sans toucher au centre de la ville.
Comme jadis, depuis l'an 1200 Cluj - Kolozsvàr, est pleine des étudiants. C'est la centre culturelle, scientifique et administrative de la Transylvanie. L'été, la plupart des étudiants venus de tout part partent chez eux, puis à l'automne, la ville s'agrandit de nouveau au moins dix pour cent de plus. Ici, dans le parc de la ville, près duquel j'avais jadis habité.
Sortie du Roumanie en 1961
J" n'étais plus en Roumanie quand ma fille et née et mon fils ensuite né en France, lui
J'étias marié cette fois à un français et me sentais de temps en temps plus étrangère qu'avant, puisqu'il me disait "on ne mange pas comme ça en France" par exemple ou des choses simillaires quand quelque chose ne lui convenait pas à lui, mais j'étais heureuse, ici, même malgré avoir perdu le travail, j'étais "jeune" je n'avais ici que 60 ans (maintenant j'ai 72)
Si vous êtes interessé par ma vie, liser mon RetroBlog ou LivreBlog, le première, commencé à la manière des blogs à l'inverse, contient mes journaux de dix ans à 1989 pour le moment, la deuxième, qu'on peut lire comme un livre, chapître par chapître, de 10 à 30 ans, ma période avant mon émigration.
Mais ce blog ne sera de ma vie qu'en ce qui concerne la Roumanie et vous le faire savoir.
Quelques vieilles images
J'étais à 14 ans encore à CLUJ-Napoca (Ceusescu a ajouté Napoca), et je croyais d'ailleurs tout qu'on disait dans les journaux aussi. Mais j'étais très heureuse de travailler "pour le bonheur de tous". Mon père étant affecté à Bucarest, nous avons dû déménager
C'est déjà à Bucares, devant l'imeuble où nous avions habité les dernières années. Cela a dû être après mon mariage, et pas très longtemps avant que j'ai quitté définitivement le pays. Mon mari était "roumain" mais sa mère était d'origine grec. Il a toujours regretté d'avoir quitté ce pays. Pas moi. Je me suis sentie bien et chez moi, presque partout en fait. J'avais réussi à faire une "chez moi".
La plus difficile était quitter ma ville natale. Longtemps, je revenais là à chaque fois que je pouvais et passais mes vacances avec ma tante, mes cousines, mais amies d'enfance.
J'y avais vécu
Je suis née en 1934, à Cluj (en hongrois Kolozsvàr). J'y ai resté jusque j'ai eu quatorze ans seulement, pourtant mon coeur est restée Transylvanienne. Je ne me suis jamais tout à fait integrée à Bucarest, la capitale de la Roumanie, même si j'ai vécu là jusqu'à mes trente ans.
Depuis, j'ai vécu la plupart de temps en France.
Je ne suis pas retournée dans la Roumanie de Ceusescu pratiquement tout le temps qu'il était au pouvoir. J'avais visité avec ma famille en 1970 et 1973, puis j'y suis retournée en 2001 la première fois. L'année 2004 la première fois dans ma ville natale où je me suis sentie "à la maison" aussitôt, tout autant qu'à Paris.
De cette expériences diverses, je voudrais ici partager un peu.
Depuis, j'ai vécu la plupart de temps en France.
Je ne suis pas retournée dans la Roumanie de Ceusescu pratiquement tout le temps qu'il était au pouvoir. J'avais visité avec ma famille en 1970 et 1973, puis j'y suis retournée en 2001 la première fois. L'année 2004 la première fois dans ma ville natale où je me suis sentie "à la maison" aussitôt, tout autant qu'à Paris.
De cette expériences diverses, je voudrais ici partager un peu.
Photos
expériences,
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Roumanie
La Roumanie entre dans l'Europe
Hier, j'étais à Paris aider un ami avec ses problèmes de spyware sur son ordinateur. A midi, je suis sortie et mangé dans un restaurant. Le television (je n'en ai pas à la maison) était allumée et sur TV1.
Une repportage sur les marchés de Bucarest, et les marchandises venant directement de producteur. "La Roumanie entre entre les autres au marché commun de l'Union Européenne à partir de 1 janvier."
Je n'arrivai pas à y croire. Je n'en savais rien. Et puis, l'information était faux, partiel. Certains marchandises sont directement de producteur, sur les marchés roumains, mais d'autres déjà proviennent de la grand ou petit distribution.
Je suis née en Roumanie, il ya 72 ans. En fait, pour être encore plus précis, en Transylvanie, une province située entre la Roumanie et Hongrie. Hongroise pendant plusieurs siècles, la Transylvanie est devenue Roumain après la première guerre mondiale. Hongroise de nouveau entre 1940 et 1944 lors mes écoles primaires. Depuis, elle appartient de nouveau à la Roumanie.
C'est important de vous le préciser, puisque de langue maternelle hongroise et pas roumain, je ne me sens d'origine roumaine. En allant visiter la Hongrie et malgré sa littérature qui est dans mon sang, ma culture, je ne me sens d'origine hongroise non plus. Pas tout à fait.
Je me sens Transylvanienne.
Mais on parlera de tout cela une autre fois.
Ce blog, va vous expliquer tout ce que je sais, tout que j'ai vu jadis et lors de mes récents visites en Roumanie, vous permettre à mieux connaître ce pays, qui sera bientôt "parmis nous". Oui, immigrée en France en 1963, je me sens tout à fait française aujourd'hui, sauf quand on me le rappelle de temps en temps autrement, surtout à cause de mon accent.
Et peut-être, mon grammaire, aussi, sorry (pardon en anglais).
Tel quel, j'espère que ce blog vous sera utile et qu'en le faisant en Blogger Beta ne mettra du pagaille avec les autres blogs que j'ai déjà.
Mon blog principal étant "Il y a de la vie après 70 ans" à
http://julie70.blogspot.com/
Une repportage sur les marchés de Bucarest, et les marchandises venant directement de producteur. "La Roumanie entre entre les autres au marché commun de l'Union Européenne à partir de 1 janvier."
Je n'arrivai pas à y croire. Je n'en savais rien. Et puis, l'information était faux, partiel. Certains marchandises sont directement de producteur, sur les marchés roumains, mais d'autres déjà proviennent de la grand ou petit distribution.
Je suis née en Roumanie, il ya 72 ans. En fait, pour être encore plus précis, en Transylvanie, une province située entre la Roumanie et Hongrie. Hongroise pendant plusieurs siècles, la Transylvanie est devenue Roumain après la première guerre mondiale. Hongroise de nouveau entre 1940 et 1944 lors mes écoles primaires. Depuis, elle appartient de nouveau à la Roumanie.
C'est important de vous le préciser, puisque de langue maternelle hongroise et pas roumain, je ne me sens d'origine roumaine. En allant visiter la Hongrie et malgré sa littérature qui est dans mon sang, ma culture, je ne me sens d'origine hongroise non plus. Pas tout à fait.
Je me sens Transylvanienne.
Mais on parlera de tout cela une autre fois.
Ce blog, va vous expliquer tout ce que je sais, tout que j'ai vu jadis et lors de mes récents visites en Roumanie, vous permettre à mieux connaître ce pays, qui sera bientôt "parmis nous". Oui, immigrée en France en 1963, je me sens tout à fait française aujourd'hui, sauf quand on me le rappelle de temps en temps autrement, surtout à cause de mon accent.
Et peut-être, mon grammaire, aussi, sorry (pardon en anglais).
Tel quel, j'espère que ce blog vous sera utile et qu'en le faisant en Blogger Beta ne mettra du pagaille avec les autres blogs que j'ai déjà.
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