Il y a encore pas mal des maisons à réparer, même si dans la petite ville de Torocko, ils ont déjà fait pas mal. Mais pas tous encore.
Il y a là encore des femmes lavant leur linges (et même les blue jeans de leur fils) dans l'eau froid de la fontaine au milieu de village, puisqu'elles n'ont pas de l'eau courant chez elles.
Torozko est une village charmant et difficile d'accès, j'ai fait six kilométres des troues en ne sachant plus si je devrais avancer ou retourner ma voiture. Mais cela valais la peine!
Une village presque d'une autre age. J'en avais lu, décrit dans un roman que le romancier Jokai, hongrois, qui l'a visité vers 1870 en a parlé. C'était une des villages très Unitariens, qui ont lutté tant qu'ils ont pu par ruse contre des envahisseurs divers.
Je suis entré à la Poste et le cour d'une famille de village en meme temps, la fille utilisait une pièce pour tenir la poste. Je suis entré dans le musée montrant l'art populaire, mais je me suis aussi assise à côté d'une vieille dame (oui, plus que moi) une paysanne aux mains habimés de travail, avec qui j'ai discuté presque une heure ensemble.
Des souvenirs inoubliables, oui, cela valait le déplacement et les trous!
Je me demande des fois si on ne fait pas exprès d'éloigner certains lieux davantage que les autres, en ne réparant pas les routes qui mène là, la route était tout à fait bien jusqu'à une église orthodoxe roumain et un camping près de lui, construits d'ailleurs récément...
les maisons renovés, il y en a pas mal au centre village
sur cette banc elle m'a invité près d'elle
après que je suis partie, elle aussi c'est mise sur la route, visiter une amie (ici c'est une image d'adieu qu'elle ne savait pas que je la prendrais)
1 commentaire:
Oui des maisons d'un autre âge, pas confortables mais qui évoquent tant de choses comme le visage de cette vieille dame, malgré l'âge la fatigue, les rides, un sourire plein de bonheur.
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