Roumanie va faire partie de l'Europe Commun. Ce que j'y avais vécu jadis ensuie, en visite.

dimanche, octobre 01, 2006

Quelques portraits prises au vif

Mieux vaudra dire "Quelques gens rencontrés en juin dernière en Transylvanie"

Je parle hongrois (ma langue maternelle) et roumain (appris dès 12 ans à l'école), donc je n'ai pas eu du mal a parler ni avec les uns ni avec les autres, dans la ville natale de Kolozsvàr (Cluj Napoca) ou sur les routes des villages que j'ai traversais avec ma voiture.

J'ai emporté avec moi un tas des portraits des gens qui me rechauffe le coeur quand je les regard aujourd'hui encore.

Old garden worker, happy with his life

le jardinier rencontré dans le cour d'un immeuble à Cluj (pas de dents, ni dentier, en tout cas pas beaucoup, mais quel sourire! et quel joie de vivre aussi! Deux jours plus tard, je l'ai rencontré quand il allait travailler ailleurs avec sa pelle. J'ai dit quelque chose que domage qu'il doit encore à cet âge, mais il me répondit "Je suis heureux" il l'était de sa vie et son sort, tout en courant d'un travail à l'autre. Mais il l'avait trouvé et il les faisait avec joie.

What beautifull eyes!

dans une village hongroise de Transylvanie, il venait faucher l'herbe près de la route communal. Aussitôt que je me suis arrêté, il a enlevé son chapeau pour saluer. Je lui avait promis et envoyé les photos le lendemain, lui de loin aussi avec le faucille sur l'épaule. Je me suis arrêté pour cela, de loin je n'avais pas vu ni sa belle moustache ni ses beaux yeux bleu.

Dentist or

Bon il me sourit peut-être moins, mais il m'a permis de prendre cette photo avant me traiter, c'est mon dentiste roumain de Cluj, il a arangé dans une semaine plusieurs dents qui m'auraient pu prendre des mois et m'a pris presque 1/7 seulement de coût près d'ici. Ils sont bons, ont des instruments moderne. Lui, avait travaillé trois ans en Italie, avant de rentrer: sa femme ne pouvait s'y habituer là.

Romanian woman for the web

Cette sympa paysanne roumaine, me disait "mais je n'ai pas pris mon dentier avec moi aujourd'hui, il me fait mal" mais ensuite, elle a accepté que je la prends en photo et nous avons bavardé quelques minutes avant qu'elle s'en va vers les champs.

Pour avoir un dentier, même qui le genait, et aussi un chariot et un cheval pour aller travailler le mais, c'est qu'elle était assez bien "riche", pas comme une autre, rencontré un peu plus tard.

Going to work because she must
Elle parlait hongrois, pas roumain, et allait aussi travailler le mais, mais à pieds et n'avait pas d'outils que ce que vous voyez dans sa main. Nous avons parlé un certains temps.

Elle n'était pas contente de sa vie, comme le jardinier de la ville. Mais que faire, me dit-elle, mon fils a une famille et il doit s'en occupper, ne peut pas m'aider. Avant de partir elle me dit "vous avez de la chance d'avoir un taxi!" (Ne voyant pas des voitures particuliers probablement autour d'elle). Elle n'avait même pas une byciclette pour faire les kilomètres séparant village et champs de maïs. Ensuite, je suis partie et elle de l'autre côté. Que je suis sentie si riche soudaine!

1 commentaire:

tanette a dit…

De beaux visages ! J'aime particulièrement le regard de celui de la seconde photo à la moustache et aux yeux bleus. Il a l'air doux et calme (mais des fois l'air ne fait pas la chanson).